D’Orléans à La Rochelle, on les voit partout. Elles se dressent devant nous, attachées, en retenue. Vestiges d’un temps de partage, de convivialité, de terrasses qui ne nous est plus permis.
Elles sont toujours liées les unes aux autres, solidaires. Elles ne forment qu’un et nous envoie avec force leur message. Résistantes, présentes dans nos villes vides, elles se tiennent prêtes.